Dans un monde idéal, l’alimentation devrait suffire à apporter au corps ce dont il a besoin.
Mais, dans la réalité, les conditions de culture (sols appauvris, manque de soleil, absence de circuit-court...) affectent la teneur en nutriments des fruits et légumes.
Parallèlement, le stress chronique a tendance à épuiser nos réserves, quand ce ne sont pas le tabac, l’alcool, les régimes ou la consommation excessive d’aliments transformés.
Les vitamines et les minéraux ne sont pas les seuls à manquer.
Par exemple, concernant nos apports en fibres : les recommandations sont de 30 g de fibres par jour (ce sont elles qui nourrissent les bonnes bactéries de l’intestin), actuellement, notre consommation moyenne est de 17 g.
Si les compléments peuvent aider, l’alimentation doit rester la première source d’apport, car elle offre une synergie unique entre les molécules. On ne doit pas se dire : “Je mange mal, donc je compense avec des compléments alimentaires”.
Les compléments alimentaires sont utiles pour accompagner un organisme déjà sain.
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